Très fortement indiquée pour notre santé, la vaporisation de tout un panel d’herbes aromatiques et de plantes médicinales aux multiples effets bénéfiques est vivement recommandé.
Effectivement, bien avant l’utilisation des molécules de synthèse liées à la médecine moderne, l’humain n’a eu de cesse d’utiliser les plantes pour ses innombrables bienfaits en accumulant d’incroyables connaissances !
Qu’est-ce que la Phytothérapie ?
L’étymologie du mot ‘Phytothérapie’ signifie « Médecine par les plantes ».
On parle donc de phytothérapie quand on utilise la plante, ou une partie de la plante (Feuille, fleur, tige, racine…) à des fins thérapeutiques.
La Phytothérapie dans l’histoire
Durant des centaines de milliers d’années, la phytothérapie a constitué la principale source de remèdes contre de nombreuses maladies, elle est encore très utilisée, à travers le monde, avec grand succès par des millions de personnes.
La phytothérapie prend ses origines dans les traditions européennes et gréco-romaines.
En effet, elle remonte à des médecins éminents, tels que Dioscoride, Hippocrate, Galen et St Hildegard de Bingen.
← ci-contre, Dioscoride
La phytothérapie qui est le plus ancien système de médecine est encore, de nos jours, le plus utilisé à travers le monde.
Effectivement, Il est à l’origine de la médecine moderne.
En France, le concept de phytothérapie est né avec le médecin Henri Leclerc.
Il a utilisé ce terme pour la première fois en 1913 et a publié plusieurs éditions du « Précis de phytothérapie », depuis 1922.
De quel manière peut-on se soigner en phytothérapie ?
– Infusion/Décoction
– Vaporisation
– Ingestion
Qu’est-ce que l’Aromathérapie ?
L’aromathérapie consiste à utiliser les concentrés ou extraits végétaux dans le but d’améliorer l’état de santé ou le bien-être d’une personne ou bien d’un animal.
L’huiles essentielle est l’exemple le plus répandu d’aromathérapie mais il y a d’autres exemples comme le bien connu « Cristal de CBD », « Huile de CBD » ou autres…
l’Aromathérapie dans l’histoire
De 3500 ans à 5000 ans avant J-C, les Égyptiens et les Babyloniens utilisaient les huiles
essentielles pour les cérémonies religieuses ou en médecine, comme le témoigne une tablette d’argile gravée qui a été retrouvée par les archéologues.
L‘aromathérapie fut et reste une pratique de confiance parmi les cultures du monde entier.
En effet, les guérisseurs naturels se tournent vers l’aromathérapie pour les nombreux effets antibactériens, anti-inflammatoires et analgésiques des huiles essentielles aromatiques.
Les huiles essentielles d’aromathérapie sont fabriquées à partir de fleurs, d’herbes, de racines et d’arbres cultivés dans le monde entier.
La concentration en principes actifs augmente considérablement la puissance et l’efficacité de ces extraits, il faut donc les utiliser avec précautions !
De quelles manières peut-on se soigner avec l’aromathérapie
Il y a plusieurs techniques différentes qui sont plus ou moins efficace selon les symptomes
Pour les huiles essentielles
– Diffusion avec un « diffuseur d’huiles essentielles »
– Inhalation directe
– Application cutanée
Pour les autres concentrés d’aromathérapie
– Absorption/Sublinguale
– Vaporisation/Vaporisateur
– Inhalateur
– Application cutanée
Le vaporisation avec un vaporisateur ! Le système le plus efficace ?
Mais quel est donc le mode de traitement de phytothérapie le plus efficace ?
Le système avec le quel on obtiendra la meilleure extraction des principes actifs sans danger ?
En phytothérapie
Lorsque l’on parle de la plante dans son ensemble « totem », la vaporisation avec un vaporisateur semble être le choix le plus efficace, puisqu’il permet une extraction presque totale des principes actifs d’une plante ou herbe médicinale.
De plus, avec un vaporisateur, on peut même privilégier certaines molécules en sélectionnant différentes températures.
Effectivement, une plante comprend une multitude de molécules qui n’ont pas la même température de fusion (sublimation).
Nous vous rappelons aussi qu’un bon vaporisateur ne génère pas de goudron ou gaz nocif puisqu’il chauffe la plante à une température inférieure à celle de la combustion (231°C).
L’ingestion semble aussi être un moyen efficace, puisqu’on ne perdra rien de la plante.
Cependant, elle est souvent non adaptée puisqu’il est difficile d’ingérer de grosse quantités de plantes bourrées de fibres insolubles.
Les fibres sont difficilement digestes et elle ralentiront énormément l’assimilation.
Cependant, le fait de cuire la plante pourrait réduire ce problème bien que la cuisson risque de détruire le contenu thérapeutique de la plante…
L’infusion est quant à elle très adaptée et conseillée mais elle restera bien moins efficace que la vaporisation !
En Aromathérapie
Pour les huiles essentielles, le système de prédilection est la vaporisation indirecte via un « Diffuseur d’huiles essentielles » et en application cutanée selon les symptomes.
Il ne faut surtout pas utiliser un vaporisateur en inhalation directe avec les huiles essentielles.
Effectivement, la concentration des principes actifs lié à l’efficacité de la vaporisation pourrait être dangereuse dans certains cas !
Pour tous les autres concentrés, extraits végétaux d’aromathérapie, le vaporisateur est parfaitement adapté !
L’ingestion sera aussi efficace si l’extrait est limité en fibres insolubles !
Bonnes Vapes !